Le Directeur de l’Institut de la Francophonie et du Développement Durable reçu par le ministre des Affaires étrangères.

Jean-Pierre NDOUTOUM, nouveau directeur de l’Institut de la Francophonie et du Développement Durable (IFDD), a présenté ses civilités au ministre gabonais des Affaires étrangères, Emmanuel Issoze Ngondet, au cours d’une audience en prélude à l’atelier préparatoire à la « conférence des parties sur le changement climatique, COP 21 » qui se tiendra à Paris, en Décembre 2015.


« Gagner le pari de Paris », est le leitmotiv de l’importante délégation qui se retrouvera à Paris pour une conférence des parties sur le climat en décembre prochain. Pour sa tâche, le directeur de l’Institut de la Francophonie et du Développement Durable affirme : « Je suis venu en mission au Gabon pour superviser l’atelier régional sur les contributions prévues au niveau de chaque pays, en préparation de la conférence des parties de Paris qui traitera du changement climatique, la COP 21, et discuter entre autre de la coopération entre le Gabon et l’OIF, dont le programme d’appui aux industries culturelles, les clac, les stratégies jeunesse et économique adoptées à Dakar etc. », et d’ajouter pour son hôte « J’ai profité de l’occasion pour remercier également les autorités gabonaises, notamment Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat et Monsieur le Ministre des Affaires étrangères, pour avoir personnellement porté ma candidature récente au poste de directeur de l’Institut de la Francophonie et du Développement Durable ».

Le Ministre des Affaires Etrangères Emmanuel ISSOZE NGONDET s’est dit satisfait et a présenté ses félicitations au compatriote promu au poste de directeur de l’Institut de la Francophonie et du Développement Durable (IFDD), organe subsidiaire de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) dont le siège se trouve à Québec.

Il est à signaler que les 195 pays qui composent la communauté internationale vont se réunir à Paris en décembre 2015 pour négocier et s’entendre sur un protocole d’accord ayant une valeur contraignante, de façon à ce que chaque pays prenne des engagements sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui entrainent un réchauffement climatique indésirable favorisant l’augmentation de la température moyenne.